Améliorez le mieux-être des patients et du personnel du département de santé mentale. Chaque don contribue à transformer l’environnement de soins pour les patients en détresse psychologique et pour ceux qui prennent soin d’eux.
Objectif: 1,5 million $!
Chaque jour, au département de santé mentale de l’Hôpital Charles-Le Moyne, des adultes de tous âges traversent une profonde détresse. Ce sont des proches, des collègues, des parents. Ils ont besoin de soins, mais aussi d’un lieu qui favorise leur rétablissement.
Les équipes qui les accompagnent ont un rêve: transformer cet environnement en un milieu apaisant, rassurant. Un milieu à la hauteur de leur engagement.
Votre don contribuera à moderniser les unités, à créer un impact direct sur le mieux-être des patients et à soutenir le travail essentiel du personnel soignant.
Offrez de calme. de sécurité. d’humanité.
Un appel récent du 450 912-9131? C’est normal. 
Une campagne de dons par téléphone est actuellement en cours. Si vous avez reçu un appel provenant du 450 912-9131, soyez rassuré·e: il s’agit bel et bien d’une initiative officielle, menée avec notre partenaire de confiance Monali.
Des questions ou envie de faire un don? Il suffit de nous écrire ou nous appeler — un retour vous sera fait avec plaisir.
Merci pour votre générosité. Vous faites vraiment une différence.
Chaque jour, des patients franchissent les portes du département de santé mentale de l’Hôpital Charles-Le Moyne. 
Crise, détresse, solitude, peur. Pour plusieurs, c’est le premier contact avec la psychiatrie.
Il est crucial que cette première impression soit positive, afin que les personnes en détresse et leurs proches se sentent suffisamment en confiance pour rester… et revenir chercher de l’aide en cas de besoin.
Martin Tétreault, Directeur des programmes Santé Mentale, Dépendance et Itinérance

Ce moment peut faire toute la différence. 
Il peut marquer le début d’un cheminement… 
ou devenir le moment où l’on referme la porte à jamais.
Avec ses 89 lits répartis sur trois unités spécialisées (jeunes adultes, adultes, gérontopsychiatrie), c’est la plus grande unité de psychiatrie dans un centre hospitalier au Québec, après l’Institut Douglas. Mais ses installations datent de 1977.
Peu de lumière. Peu de couleurs. 
Un milieu qui ne reflète pas toute l’humanité ni l’excellence du personnel qui s’y dévoue chaque jour.

Un environnement usé peut miner le moral et nuire au rétablissement. À l’inverse, un lieu apaisant favorise la guérison. Quand on prend soin du visible, on contribue à rétablir l’invisible.
Martin Tétreault, Directeur des programmes Santé Mentale, Dépendance et Itinérance












Chaque détail compte pour créer un environnement qui favorise le mieux-être.
Grâce à votre don, nous pouvons transformer ces lieux en milieux de soins humains, sécurisants et respectueux de la dignité de chaque personne.
Chaque détail compte pour créer un environnement qui favorise le mieux-être.
Grâce à votre don, nous pouvons transformer ces lieux en milieux de soins humains, sécurisants et respectueux de la dignité de chaque personne.
Vous permettrez aux patients et à l’équipe de santé mentale:







1 personne sur 5 aura recours à des soins en santé mentale
Depuis la pandémie, les demandes ont bondi de 30 %
400 hospitalisations par année, pour quelques semaines à plusieurs mois
Une équipe profondément humaine, qualifiée et engagée
Votre don est un acte de bienveillance. 
Un geste concret qui améliore le quotidien de centaines de personnes. 
Patients, proches, soignants.

Voici l’équipe de soignants et de spécialistes unis autour d’une même mission de coeur.

Quand les murs protègent sans enfermer, quand la lumière revient, quand les couleurs apaisent… alors les cœurs s’ouvrent, les liens se retissent, et la guérison devient possible.
Êtes-vous prêts à écrire l’histoire avec eux et les aider à aménager les milieux de vie à la hauteur de leur mission?
Ensemble, créons de l’impact pour la santé mentale.
© 2025 Fondation Hôpital Charles-LeMoyne. Tous droits réservés.
No d’organisme de bienfaisance : 13460 7936 RR0001
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Aux portes du pavillon: améliorer l’éclairage et les couleurs pour favoriser l’apaisement.
Chaque année, des centaines de personnes franchissent le seuil du département de santé mentale de l’Hôpital Charles-Le Moyne. Pour certains, c’est le tout premier épisode psychotique de leur vie. Pour d’autres, c’est un retour difficile soit pour une hospitalisation, soit pour une visite en clinique externe. L’accueil devient alors le premier soin qu’ils reçoivent. Réaménager ce lieu d’accueil, c’est rendre tangible cette promesse de sécurité et de confiance.

Réaménager les aires communes pour favoriser la réhabilitation.
Au pavillon de psychiatrie, les patients peuvent y rester en moyenne 35 jours. C’est donc leur milieu de vie, le temps de retrouver l’équilibre. Dans cette salle commune, les patients et le personnel se croisent, discutent… Les repas se partagent ici et les rires d’un jeu remplacent parfois les mots qu’on peut échanger. Ici, se vit la cohabitation, parfois fragile, parfois rassurante. Transformer cet espace de vie en un lieu  apaisant et  chaleureux, c’est offrir aux patients un environnement qui soutient mieux leur réinsertion et peut transformer ces instants en véritables leviers de réhabilitation.

 de confort: remplacer du mobilier pour renforcer la sécurité des usagers.
Assis côte à côte, les patients laissent parfois leurs gestes exprimer ce que les mots taisent: l’inquiétude, l’impatience, le besoin de se raccrocher à quelque chose. Ces gestes simples racontent la fragilité et le courage du quotidien. Dans ces instants de silence partagé, l’environnement joue un rôle discret mais essentiel. L’adapter, le rendre plus doux et plus respectueux, c’est donner à chaque personne la possibilité de traverser ces moments avec un peu plus de sérénité.

Une visite réconfortante.
La visite de la famille, d’un ami ou d’un proche, est une présence réconfortante. Ces visites sont une force, un baume pour l’esprit, un moteur de guérison. Les familles font partie intégrante du parcours thérapeutique. Offrir des lieux pensés pour accueillir ces moments précieux, c’est donner une place concrète à l’amour et au soutien dans le processus de rétablissement.

Le corps en mouvement.
Accompagnés du kinésiologue, les patients suivent une séance de yoga sur chaise. Une salle adaptée et lumineuse renforcerait l’impact de ces activités, rappelant que le corps est un chemin essentiel vers le mieux-être. Offrir une salle propice au mouvement, c’est donner encore plus de puissance à ces activités qui renforcent la confiance en soi et soutiennent le mieux-être.

Une bouffée d’air.
Prendre l’air, sentir le vent, marcher quelques pas dehors : pour les patients, la cour extérieure est un moment de répit. Cet espace pourrait devenir un véritable jardin thérapeutique, un lieu de paix, de respiration et de contact avec la nature. Réaménager cette cour, c’est offrir un prolongement des soins, un espace à ciel ouvert qui pave le chemin de guérison.

La relation de confiance.
Assise auprès d’une intervenante, une patiente trouve l’espace pour parler, raconter, parfois se taire. Le dialogue, ici, est un soin à part entière. Ce sont des moments où la confiance se construit, où la parole devient un outil de rétablissement. Offrir des espaces plus propices à ces échanges, c’est donner encore plus de force à la relation thérapeutique qui accompagne chaque patient.

La consultation avec la psychiatre.
Tout au long de leur séjour, les patients rencontrent la psychiatre, ici Dre Prud’homme. Ces consultations régulières jalonnent le parcours et sont attendues comme des rendez-vous importants. On y parle des symptômes, des progrès, des craintes, mais surtout, on écoute. Cet espace de suivi est essentiel au processus de guérison. Le rendre plus accueillant, plus humain, c’est soutenir cette rencontre déterminante qui permet au patient de se sentir entendu et accompagné tout au long de son hospitalisation.

Une vision partagée.
L’équipe du département de santé mentale rêve… d’un milieu de soins adapté aux patients, rassurant pour leurs proches en visite et valorisant pour la qualité de soins offerts par l’équipe. 1,5 million $ est nécessaire pour transformer ces espaces. Chaque don devient lumière, couleur, confort, respiration. Ensemble, prenons soin du visible pour rétablir l’invisible.

Retrouver l’estime de soi.
Ici, on pourrait parfois oublier les gestes et activités du quotidien. On verra parfois des intervenantes refaire une coiffure, ou mettre du vernis aux patientes. Au-delà des soins médicaux, l’équipe va plus loin pour permettre aux patients de garder ces rituels de vie. Le rétablissement passe aussi par ces détails concrets qui redonnent le goût de soi.

L’angoisse ne s’explique pas, elle se vit! 
Les mains serrées sur son ventre, décrivent l’angoisse mieux que les mots. Dans ces instants, l’environnement peut faire une grande différence: un éclairage apaisant, une ambiance calme, des repères rassurants. Réaménager ces lieux, améliorer l’équipement, c’est aider à transformer l’anxiété en un moment où l’on peut respirer un peu mieux, reprendre un peu de force pour avancer.

Maintenir ou rebâtir le lien invisible, pendant et après! 
Noémie et Dominique, travailleurs sociaux, préparent le retour à la communauté, assurent un suivi, aident à trouver les ressources. Dans ces rôles souvent invisibles mais essentiels, ils accompagnent avec soin, pour qu’après leur séjour au pavillon, les patients trouvent l’équilibre nécessaire, pour aller encore mieux. C’est un maillon discret mais vital du parcours de soins. C’est une équipe soudée, qui travaille en collaboration avec infirmiers, intervenants, psychiatres et personnel administratif, au bien-être du patient pendant et après son séjour.

Prendre soins du psychique et aussi du physique.
Chaque geste est précis, réfléchi, destiné à soulager et à sécuriser. Derrière ce rituel, il y a l’attention constante portée à chaque patient. Moderniser les postes de soins et les espaces infirmiers, c’est alléger leur quotidien et leur permettre de travailler dans un environnement à la hauteur des soins qu’ils offrent aux patients.

Les petits pas.
Jouer aux mots croisés. C’est l’une des activités entre patiente et intervenante. Ce moment simple, presque anodin, est en réalité une étape de réhabilitation: retrouver la concentration, stimuler la mémoire, reprendre le fil du quotidien. Les activités de loisirs ont une vraie valeur thérapeutique. Les soutenir avec des espaces mieux adaptés, c’est encourager ces petits pas qui mènent vers de grands retours.

Offrir un environnement plus valorisant!
Dans cet espace à l’étroit, deux collègues échangent. La proximité crée de la solidarité. Mais offrir un espace de travail plus adapté, plus ergonomique, c’est donner aux équipes la possibilité d’exercer leur mission avec encore plus de fluidité et de sérénité. Les soignants donnent énormément. Leur environnement devrait leur rendre cette énergie.

L’élan du mouvement.
Dans la salle de défoulement, l’activité physique joue un rôle essentiel. Elle libère les tensions, canalise l’énergie, redonne de la vitalité. L’aménager pour qu’elle devienne pleinement thérapeutique, c’est renforcer le rôle essentiel du mouvement dans le rétablissement.

Une équipe soudée.
Cette photo, n’est que la vitrine des 135 professionnels, dont 35 psychiatres, qui se dévouent aux patients et partagent ces lieux au quotidien. Unis par une même mission: accompagner près de 400 patients chaque année. Chaque rôle compte: médecins, infirmières, travailleurs sociaux, préposés, intervenants. Ensemble, ils forment une communauté de soins exceptionnelle. Moderniser leur environnement, c’est reconnaître leur dévouement et leur offrir des conditions qui reflètent la qualité de leur engagement.