Grâce à votre générosité, cette nouvelle technologie transforme la façon d’opérer. Chaque remplacement du genou est précis, personnalisé… et permet à des patients comme Marielle de se remettre sur pied rapidement.
Le robot du genou révolutionne la façon dont nous faisons les opérations du genou. Il permet de personnaliser chaque intervention en fonction de la morphologie unique du patient, avec une précision inégalée. Grâce à lui, on améliore les résultats, on réduit les complications et on accélère le retour à la vie active.
Dr Hai Nguyen
Chirurgien orthopédique spécialisé en remplacement du genou et de la hanche à l’Hôpital Charles-Le Moyne.
Marielle Barrette a longtemps espéré pouvoir à nouveau marcher sans douleur. À plus de 80 ans, elle s’est présentée à l’Hôpital Charles-Le Moyne, accompagnée de son mari, après deux longues années d’attente pour une chirurgie au genou gauche. Une attente qui l’a forcée à limiter tous ses déplacements. Elle devait se déplacer en chaise roulante pour les grandes sorties, et adapter son quotidien à cette mobilité réduite.
Le jour de son opération, Marielle est restée éveillée. L’intervention se fait sous anesthésie locale. Elle entendait les échanges entre les membres de l’équipe, parfaitement détendue. Elle le savait: elle était entre de bonnes mains. Malgré tout, elle est restée confiante. Confiante que cette technologie allait faire la différence. Et elle avait raison.
Grâce à cette technologie, Marielle a reçu une prothèse parfaitement adaptée à sa morphologie. Moins de physiothérapie, moins de médication, et surtout: un retour rapide à la maison.
L’Hôpital Charles-Le Moyne est le tout premier Hôpital public francophone au Québec à se doter d’un robot chirurgical orthopédique aussi avancé.
Cette technologie permet au chirurgien de planifier avec une extrême précision la position, l’angle et l’alignement de la prothèse avant même de débuter l’intervention. Résultat: des interventions sécuritaires, une chirurgie moins invasive, des résultats durables. Et surtout, un retour à la maison rapide pour les patients.
Merci de rendre ces avancées possibles.
Comme Marielle, Robert Graine avait mal. Mal au point où il ne pouvait plus rien faire. Après une chirurgie au genou gauche, c’est son genou droit qui a commencé à lui faire atrocement souffrir. Pendant 14 mois, il a attendu. À cause d’une infection cardiaque, son opération a été reportée. Encore et encore.
Quand le moment est enfin venu, toute une équipe l’attendait en salle d’opération: un préposé au bloc, une anesthésiste, deux infirmières, un infirmier de chirurgie et le Dr Nguyen. Et avec eux, un collègue pas comme les autres: un robot chirurgical orthopédique, financé grâce à votre générosité. Un outil de précision hors du commun, qui permet au chirurgien de réaliser des coupes sur mesure et de positionner la prothèse avec une exactitude inégalée.
Quelques heures après l’intervention, Robert se tenait déjà debout. Et rêvait à ses prochaines randonnées avec sa conjointe. La chirurgie avait été moins invasive. Le rétablissement, rapide. Et la douleur, déjà diminuée.
Deux patients. Deux histoires différentes. Un même objectif: retrouver rapidement leur qualité de vie. Grâce à VOUS.
Grâce à l’engagement bienveillant de personnes comme vous, l’Hôpital Charles-Le Moyne continue d’innover afin d’offrir des soins ultraspécialisés de calibre mondial.
Ensemble, nous faisons avancer la médecine.
Ensemble, nous transformons concrètement la qualité des soins.
Ensemble, nous permettons à l’Hôpital de faire partie de la cour des grands hôpitaux universitaires.
Visionnez également le reportage de Radio-Canada ainsi que celui paru sur le réseau CTV en anglais.
L’Hôpital Charles-Le Moyne est le tout premier Hôpital public francophone au Québec à se doter d’un robot chirurgical orthopédique aussi avancé.
Cette technologie permet au chirurgien de planifier avec une extrême précision la position, l’angle et l’alignement de la prothèse avant même de débuter l’intervention. Résultat: des interventions sécuritaires, une chirurgie moins invasive, des résultats durables. Et surtout, un retour à la maison rapide pour les patients.
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Le jour tant attendu est enfin arrivé.
À 5 h 30, Marielle Barrette franchit les portes de l’Hôpital Charles-Le Moyne, accompagnée de son mari. Après deux longues années d’attente, elle s’apprête enfin à recevoir sa chirurgie du genou gauche. Souriante, confiante, elle sait qu’aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. Dans quelques heures, elle sera entre les mains de l’équipe du Dr Nguyen… et de leur précieux allié robotisé.
Premier contact humain, premier geste rassurant.
Dès son arrivée au bloc opératoire, Marielle est accueillie par Sébastien, préposé au bloc. C’est lui qui s’assure que tout commence en douceur. Il l’installe, ajuste les couvertures, prend le temps de lui parler. Ici, la technologie a sa place. Mais c’est l’humain qui ouvre la porte.
Le calme avant la précision.
Marielle est maintenant prête et installée sur la table opératoire. Dans la salle, les voix sont basses, les gestes assurés. On commence les préparatifs préopératoires. L’équipe se coordonne, se concentre. Chacun sait ce qu’il a à faire. L’intervention approche.
Validation finale.
Catherine, infirmière externe, revoit chaque détail de l’intervention avec le Dr Hai Nguyen. Type de prothèse, côté à opérer, technique à privilégier: tout est confirmé une dernière fois. Ce moment de relecture est crucial — c’est le calme maîtrisé avant l’action.
Une équipe prête pour l’excellence.
Pendant ce temps, Mélanie se prépare. Elle tiendra le rôle d’infirmière interne et portera une combinaison étanche, accompagnée d’un casque de ventilation. Ce sera elle, au cœur de l’intervention, qui assurera la stérilité et répondra à chaque besoin du chirurgien. La concentration est totale.
Tout doit être à portée de main — et parfaitement stérile.
Pendant que la patiente est en préparation, Mélanie et Catherine installent les instruments chirurgicaux. Chaque outil est manipulé avec soin, chaque surface est stérile. Seule Mélanie, une fois en combinaison, pourra toucher au matériel. Ce ballet minutieux fait partie de la routine. Et pourtant, il ne laisse jamais place à l’improvisation.
Dernier regard, dernières paroles rassurantes.
Avant que l’intervention ne commence, Sébastien s’approche de Marielle. Il s’assure qu’elle est détendue, en confiance. Elle recevra une anesthésie locale seulement. Elle restera donc consciente pendant l’opération — et pourra entendre tout ce qui se passe autour d’elle.
Une attention à chaque détail.
Avant même qu’un bistouri ne touche la peau, Sébastien nettoie de nouveau la jambe de Marielle. Stérilisation complète, gestes précis, silence concentré. La sécurité de la patiente est la priorité absolue.
Le moment est venu.
L’équipe est en position. Marc-Olivier, infirmier premier assistant en chirurgie, est prêt à intervenir aux côtés du Dr Hai Nguyen. Mélanie, en zone stérile, anticipe chaque geste. L’intervention peut commencer.
La première incision.
Avant de poser la prothèse, le Dr Nguyen prépare le terrain. Il procède aux premières incisions manuelles, dégage les structures à opérer, expose la zone articulaire. Chaque geste est mesuré, exécuté avec rigueur. La technologie est en veille. Pour l’instant, c’est la main du chirurgien qui trace le chemin.
Deux infirmières, un seul objectif : soutenir l’exactitude.
En pleine préparation du site opératoire, Mélanie et Catherine coordonnent leurs gestes. L’une, en zone stérile, intervient directement aux côtés du chirurgien. L’autre, en soutien à l’extérieur, veille à ce que tout reste accessible et organisé. C’est une chorégraphie millimétrée, où chaque rôle est essentiel.
Sous anesthésie, mais bien consciente.
Tout au long de l’intervention, Marielle reste éveillée. Son niveau de conscience est surveillé de près. Karine, l’inhalothérapeute ajuste chaque paramètre — douleur, sédation, signes vitaux. La technologie entoure la patiente, mais c’est l’équipe humaine qui l’enveloppe de sécurité.
C’est au tour du robot d’entrer en scène.
Le Dr Nguyen valide les derniers paramètres. La coupe à venir devra suivre un tracé ultra-précis, adapté à l’anatomie unique de Marielle. Le robot ne remplace pas le chirurgien : il le guide avec constance, assurant une précision qu’aucune main humaine ne peut égaler.
Un regard expert pour un allié technologique.
David, représentant du fabricant du robot, assiste à la procédure. Il accompagne l’équipe dans l’optimisation des réglages, au besoin. Présence discrète mais précieuse — car chaque ajustement peut faire une différence sur le résultat final.
Une cartographie du genou, en temps réel.
Sur l’écran, les données se réajustent à chaque étape. Le plan de coupe est dynamique, modelé sur la morphologie unique de Marielle. Grâce au robot, le chirurgien peut personnaliser chaque mouvement. C’est ici que la technologie fait toute la différence.
La précision prend vie.
La lame du robot entre en action. Elle effectue une coupe osseuse d’une exactitude impossible à réaliser manuellement. C’est le cœur de cette technologie : guider le geste humain avec une précision extrême, pour une pose de prothèse parfaitement alignée.
Mélanie, au cœur du bloc.
En pleine intervention, Mélanie anticipe les besoins de l’équipe. Elle tend les instruments, ajuste le champ opératoire, répond aux moindres demandes. Sa rigueur, son calme, sa coordination sont essentiels pour que tout se déroule dans les règles de l’art.
Chaque élément est compté.
Catherine, à l’extérieur de la zone stérile, assure le contrôle du matériel. Tout est noté, validé, revalidé. Chaque compresse. Chaque instrument. Une sécurité invisible, mais cruciale, pour éviter toute complication après l’intervention.
Le réveil… et la bonne nouvelle.
Marielle reprend doucement ses esprits. Le Dr Nguyen lui confirme que tout s’est bien passé : la chirurgie est un succès, son nouveau genou est en place. Dans son regard, on sent le soulagement.
Debout. Souriante. Soulagée.
Quelques heures à peine après sa chirurgie, Marielle se lève. Elle fait quelques pas. Le visage rayonnant. Deux ans d’attente… et enfin, le soulagement. Un pas à la fois, elle reprend sa liberté.