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Saviez-vous qu’une personne sur deux développera un cancer au cours de sa vie? Qu’une personne sur quatre en mourra? Que c’est la première cause de mortalité au Québec?
De nouveaux traitements sont constamment découverts. Mais beaucoup de travail reste à faire pour améliorer la qualité des soins offerts aux patients, ainsi que leur expérience et leur qualité de vie. C’est là que vous intervenez !
Les cancers de la sphère intime féminine, à l’exemple du cancer du col de l’utérus, sont au cœur de mon expertise. Le cancer du col de l’utérus est d’ailleurs le 1er cancer gynécologique à travers le monde. Le virus du papillome humain (VPH) en est la cause la plus fréquente.
Si je vous écris aujourd’hui, c’est pour mieux soigner les femmes. Pour nous aider à faire l’acquisition d’un laser qui va nous permettre de traiter les lésions précancéreuses chez nos patientes. Vous contribuerez ainsi à réduire le risque qu’elles développent un cancer.
Les jeunes femmes âgées entre 35 et 55 ans sont les plus affectées. Certains groupes de personnes sont plus à risque de développer des symptômes. C’est le cas par exemple des personnes dont le système immunitaire est affaibli. D’autres facteurs de risques, comme le tabagisme, interviennent aussi.
En cas de présence de lésions précancéreuses, trois options de traitement s’offrent alors au médecin. Ce dernier proposera à la patiente la meilleure option en fonction de sa situation médicale.
- La première consiste en l’application quotidienne d’une crème pendant plusieurs mois.
- On peut aussi faire une ablation chirurgicale limitée à l’endroit infecté.
- Enfin, il existe une troisième et dernière option: une destruction des lésions au laser. Cela prend quelques séances d’une dizaine de minutes seulement, en chirurgie d’un jour, sous anesthésie locale.
En ce moment, nous n’offrons que les deux premières options à l’Hôpital Charles‑Le Moyne. Dans certains cas, un traitement au laser est préférable. À défaut d’en être équipés, nous devons orienter certaines de nos patientes vers d’autres institutions pour leur traitement. Comme vous vous en doutez, c’est vraiment loin d’être idéal. C’est stressant et peu pratique comme une de mes patientes, Martine* , en témoigne pour vous.
L’ayant utilisé depuis de nombreuses années dans mon ancien Hôpital et parce que j’en connais les bienfaits, j’aimerais pouvoir l’utiliser pour mes patientes ici à l’Hôpital Charles-Le Moyne.
Vous pouvez nous aider à nous procurer le laser et offrir un accès équitable aux soins à toutes nos patientes en oncologie.
Vous permettrez à notre équipe d’utiliser l’approche la moins invasive et la plus ciblée pour traiter les précancers gynécologiques. L’Hôpital Charles-Le Moyne est un centre de référence en oncologie. Offrir ce traitement aux patientes va de soi. D’autant que cela coûte bien moins cher à la société de prendre en charge le traitement de lésions précancéreuses que le traitement d’un cancer.
Ce n’est pas tous les jours que, par un simple don, vous pouvez avoir un impact direct sur la vie d’une patiente. Que vous pouvez lui éviter d’avoir un cancer. Que vous pouvez prévenir une maladie qui frappe tristement des jeunes femmes. Merci pour toutes les patientes atteintes de lésions précancéreuses, comme Martine* , que VOUS guérirez avec le laser.
* Le nom a été changé pour préserver l’anonymat de la patiente.
Dr Omar Touhami
Chef de service de gynécologie-oncologie
Hôpital Charles-Le Moyne