Cette campagne est terminée. Merci de votre générosité!
Je m’abonne à l’infolettre pour rester à l’affût des dernières nouvelles!
En vous abonnant, vous consentez à notre Politique de confidentialité.
Ensemble, contribuons davantage à la prévention des cancers de la sphère intime féminine.
Je m’appelle Martine*. Je voudrais partager avec vous mon expérience. C’est mon histoire. Mais cela pourrait être l’histoire de tant d’autres femmes…
Je suis une personne active. Je prends soin de ma santé. J’ai des visites régulières avec mon gynécologue. Il y a quelques mois, après des examens approfondis à l’Hôpital Charles-Le Moyne, j’ai reçu le diagnostic bouleversant d’état précancéreux du col de l’utérus.
On m’a alors informée que le traitement au laser dont j’avais besoin n’était pas disponible sur place. Le personnel médical a été formidable. Toutefois, faciliter le transfert vers un autre centre hospitalier a été tout un défi pour eux. Une série d’appels a été nécessaire pour trouver un médecin prêt à me prendre en charge et ensuite, pour assurer le suivi. J’ai finalement été redirigée vers un hôpital anglophone. Un processus long et douloureux d’autant plus que je ne parle pas un mot d’anglais.
Imaginez-vous recevoir la nouvelle de l’existence de lésions précancéreuses. C’est une épreuve en soi. Puis être référée ailleurs pour être prise en charge par un professionnel différent de son médecin habituel… Ça ne fait que créer du stress supplémentaire pour rien.
Et si c’était vous, votre conjointe, votre fille, votre voisine… Ne préféreriez-vous pas un accès le plus rapide possible, à la meilleure option thérapeutique, pratiquée par le médecin traitant, dans le centre hospitalier de votre communauté ?
J’espère que mon témoignage aidera à prendre conscience de l’importance de l’accessibilité aux traitements spécialisés localement. Et épargnera aux prochaines patientes d’être confrontées aux mêmes défis que moi. Merci pour tout ce que vous pourrez faire pour elles. ♡
* Le nom a été changé pour préserver l’anonymat de la patiente.
Le VPH ? Moi ?
Le vaccin contre le VPH est recommandé aux adultes qui ne l’ont pas déjà reçu. Il n’y a pas de limite d’âge supérieure pour recevoir le vaccin.
Êtes-vous protégé.e ?
Pour obtenir le vaccin contre le VPH, adressez-vous à votre professionnel.le de la santé.
Ceci est un message d’Immunisation Canada.
